Encore et encore
D’abord, vos corps qui se séparent,
T’es seule dans la lumière des phares,
Et t’entends, à chaque fois que tu respires,
Comme un bout de tissu qui se déchire.
Et ça continue encore et encore,
C’est que le début, d’accord, d’accord
L’instant d’après le vent se déchaîne,
Les heures s’allongent comme des semaines,
Tu te retrouves seule, assise par terre,
A bondir à chaque bruit de portière.
Mais ça continue encore et encore
C’est que le début, d’accord, d’accord
Quelque chose vient de tomber
Sur les lames de ton plancher
C’est toujours le même film qui passe
T’es toute seule au fond de l’espace
T’as personne devant
La même nuit que la nuit d’avant
Les mêmes endroits deux fois trop grands
T’avances comme dans des couloirs
Tu t’arranges pour éviter les miroirs
Mais ça continue encore et encore
C’est que le début, d’accord, d’accord
Quelque chose vient de tomber
Sur les lames de ton plancher
C’est toujours le même film qui passe
T’es toute seule au fond de l’espace
T’as personne devant
Personne
Faudrait qu’t’arrives à en parler au passé
Faudrait qu’t’arrives à ne plus penser à ça
Faudrait qu’tu l’oublies à longueur de journée
Dis-toi qu’il est de l’autre côté du pôle
Dis-toi surtout qu’il ne reviendra pas
Et ça t’fait marrer les oiseaux qui s’envolent
Les oiseaux qui s’envolent
Les oiseaux qui s’envolent
Tu comptes les chances qu’il te reste
Un peu de son parfum sur ta veste
Tu avais dû confondre les lumières
D’une étoile et d’un réverbère
Mais ça continue encore et encore
C’est que le début, d’accord, d’accord
Et ça continue encore et encore
C’est que le début, d’accord, d’accord
Y’a des couples qui se défont
Sur les lames de ton plafond
C’est toujours le même film qui passe
Toute seule au fond de l’espace
T’as personne devant
Personne
Quelque chose vient de tomber
Sur les lames de ton plancher
C’est toujours le même film qui passe
T’es toute seule au fond de l’espace
T’as personne devant
Personne
Y’a des couples qui se défont
Sur les lames de ton plafond
C’est toujours le même film qui passe
Le même film qui passe
T’es seule dans la lumière des phares,
Et t’entends, à chaque fois que tu respires,
Comme un bout de tissu qui se déchire.
Et ça continue encore et encore,
C’est que le début, d’accord, d’accord
L’instant d’après le vent se déchaîne,
Les heures s’allongent comme des semaines,
Tu te retrouves seule, assise par terre,
A bondir à chaque bruit de portière.
Mais ça continue encore et encore
C’est que le début, d’accord, d’accord
Quelque chose vient de tomber
Sur les lames de ton plancher
C’est toujours le même film qui passe
T’es toute seule au fond de l’espace
T’as personne devant
La même nuit que la nuit d’avant
Les mêmes endroits deux fois trop grands
T’avances comme dans des couloirs
Tu t’arranges pour éviter les miroirs
Mais ça continue encore et encore
C’est que le début, d’accord, d’accord
Quelque chose vient de tomber
Sur les lames de ton plancher
C’est toujours le même film qui passe
T’es toute seule au fond de l’espace
T’as personne devant
Personne
Faudrait qu’t’arrives à en parler au passé
Faudrait qu’t’arrives à ne plus penser à ça
Faudrait qu’tu l’oublies à longueur de journée
Dis-toi qu’il est de l’autre côté du pôle
Dis-toi surtout qu’il ne reviendra pas
Et ça t’fait marrer les oiseaux qui s’envolent
Les oiseaux qui s’envolent
Les oiseaux qui s’envolent
Tu comptes les chances qu’il te reste
Un peu de son parfum sur ta veste
Tu avais dû confondre les lumières
D’une étoile et d’un réverbère
Mais ça continue encore et encore
C’est que le début, d’accord, d’accord
Et ça continue encore et encore
C’est que le début, d’accord, d’accord
Y’a des couples qui se défont
Sur les lames de ton plafond
C’est toujours le même film qui passe
Toute seule au fond de l’espace
T’as personne devant
Personne
Quelque chose vient de tomber
Sur les lames de ton plancher
C’est toujours le même film qui passe
T’es toute seule au fond de l’espace
T’as personne devant
Personne
Y’a des couples qui se défont
Sur les lames de ton plafond
C’est toujours le même film qui passe
Le même film qui passe
/Francis Cabrel/
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