Encore un soir
Une photo une date, c'est à n'y pas croire
C'était pourtant hier mentirait ma mémoire
Et ces visages d'enfants, et le mien dans ce miroir
Oh c'est pas pour me plaindre ça vous n'avez rien à craindre
La vie m'a tellement gâtée, j'ai plutôt du mal à l'éteindre
Oh mon Dieu, j'ai eu ma part, et bien plus à tant d'égards
Mais quand on vit trop beau, trop fort, on en oublie le temps qui passe
Comme on perd un peu le nord au milieu de trop vastes espaces
À peine le temps de s'y faire, à peine, on doit laisser la place
Si je pouvais
Encore un soir, encore une heure, encore une larme de bonheur
Une faveur, comme une fleur,
Un souffle, une erreur
Un peu de nous, un rien de tout
Pour tout se dire encore ou bien se taire en regards
Juste un report, à peine encore, même s'il est tard
J’ai jamais rien demandé, ça c'est pas la mer à boire
Allez, face à l'éternité, ça va même pas se voir
Ça restera entre nous, oh juste un léger retard
Y'en a tant qui tuent le temps, tant et tant qui le perdent ou le passent
Tant qui se mentent, inventent en les rêvant des instants de grâce
Oh je donne ma place au paradis, si l’on m’oublie sur Terre
Encore hier
Encore un soir, encore une heure, encore une larme de bonheur
Une faveur, comme une fleur,
Un souffle, une erreur
Un peu de nous, un rien de tout
Pour tout se dire encore ou bien se taire en regards
Juste un report, à peine encore, je sais, il est tard
C’est pas grand-chose, rien qu’une pause
Que le temps, les horloges se reposent
Et caresser juste un baiser
Un baiser
Encore un soir, encore une heure, un peu de nous, un rien de tout
Un soir
(Jean-Jacques Goldman)
C'était pourtant hier mentirait ma mémoire
Et ces visages d'enfants, et le mien dans ce miroir
Oh c'est pas pour me plaindre ça vous n'avez rien à craindre
La vie m'a tellement gâtée, j'ai plutôt du mal à l'éteindre
Oh mon Dieu, j'ai eu ma part, et bien plus à tant d'égards
Mais quand on vit trop beau, trop fort, on en oublie le temps qui passe
Comme on perd un peu le nord au milieu de trop vastes espaces
À peine le temps de s'y faire, à peine, on doit laisser la place
Si je pouvais
Encore un soir, encore une heure, encore une larme de bonheur
Une faveur, comme une fleur,
Un souffle, une erreur
Un peu de nous, un rien de tout
Pour tout se dire encore ou bien se taire en regards
Juste un report, à peine encore, même s'il est tard
J’ai jamais rien demandé, ça c'est pas la mer à boire
Allez, face à l'éternité, ça va même pas se voir
Ça restera entre nous, oh juste un léger retard
Y'en a tant qui tuent le temps, tant et tant qui le perdent ou le passent
Tant qui se mentent, inventent en les rêvant des instants de grâce
Oh je donne ma place au paradis, si l’on m’oublie sur Terre
Encore hier
Encore un soir, encore une heure, encore une larme de bonheur
Une faveur, comme une fleur,
Un souffle, une erreur
Un peu de nous, un rien de tout
Pour tout se dire encore ou bien se taire en regards
Juste un report, à peine encore, je sais, il est tard
C’est pas grand-chose, rien qu’une pause
Que le temps, les horloges se reposent
Et caresser juste un baiser
Un baiser
Encore un soir, encore une heure, un peu de nous, un rien de tout
Un soir
(Jean-Jacques Goldman)
Žiadne komentáre:
Zverejnenie komentára